Soutien aux forces de l'ordre

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Cela n’a échappé à personne : un regain de violences a été observé à Dijon. C’est le déconfinement des trafics qui explique en partie ce phénomène. Nous devons être intraitables et assurer le maintien de l’ordre : la tranquillité publique est un droit fondamental qui conditionne l'exercice de nos libertés. Pour rassurer la population et apaiser les tensions, un important contingent de forces de l’ordre a été déployé dans la ville.

Cette actualité fait écho à la tendance générale qui s’installe actuellement en France comme aux États-Unis et qui interroge sur le bien-fondé de certaines pratiques au sein de la police, voire sur la légitimité de l’institution policière elle-même ! Certes oui, il est sain et nécessaire de s’interroger régulièrement sur les pratiques d’arrestations ; oui, le racisme chez certains individus, policiers, existe et doit être combattu. Mais je m’oppose frontalement à celles et ceux qui voudraient stigmatiser l’ensemble des policiers et gendarmes qui composent nos forces de sécurité. Je refuse que de petits groupes jettent l'opprobre sur une profession essentielle au maintien de notre État de droit. Nous devons collectivement reconnaissance et gratitude à ces hommes et femmes dévoués au service des autres.

Ainsi je tiens à le dire : j’apporte mon soutien sans faille aux forces de l’ordre et me félicite que le Gouvernement ait créé 10 000 postes de policiers et de gendarmes sur la durée du quinquennat et ait renforcé leurs moyens matériels.